Dans l’album Les animaux arctiques de 1 à 10, Kuluk et Asa jouent à un jeu de repérage pour apprendre à compter. Le premier repérage est une baleine boréale. Ensuite, ils ont repéré deux ours polaires qui rôdent dans le désert glacé, les enfants se cachent, car ce sont des prédateurs. Après, Asa repère une bande de trois orques enjoués. En route vers les collines rocheuses, un troupeau de quatre bœufs musqués. Puis, ils ont trouvé un groupe de 5 bélugas et un d’eux a un harpon. Plus tard, une bande de six morses se laissent flotter dans l’eau. Ensuite, les enfants ont trouvé un banc de sept narvals, quelques-uns d’entre eux ont des défenses torsadées. Tout à coup, une harde de caribous a apparu et Asa a compté huit caribous. Plus tard, ils ont trouvé un trou dans la glace et 9 phoques nagent dans l’eau en fixant les enfants d’un air intrigué. Au dernier repérage, ils se sont cachés de dix loups, car ils sentent le danger.
Les enfants apprennent vite donc leur apprendre jeune facilitera leur compréhension à l’école. Devrions-nous suggérer l’album les animaux arctiques de 1 à 10 ? Selon moi, oui, cela est un bon livre et je le recommande pour tous les enfants à la garderie.
Tout d’abord, le livre apprend aux enfants à compter jusqu’à dix en montrant le nombre d’animaux, alors cela est éducatif. L’enfant peut visualiser à l’aide des animaux et à mieux compter dans sa tête.
Ensuite, les enfants peuvent connaitre les animaux arctiques. Cependant, ils apprennent aussi les dangers des prédateurs. Avec cette connaissance, les jeunes pourraient différencier les animaux amicaux et les prédateurs. N’est-ce pas formidable?
- Autrice et illustratrice: Coco Apunnguaq Lynge
- Maison d’édition: Les Malins
- Parution: 27 février 2024
- Nombre de pages: 22
Collaboration spéciale: Fabio Escalante-Martins
Cette critique fait partie d’un projet-classe avec des élèves de cinquième secondaire, ces derniers devaient choisir un livre jeunesse ou une bande dessinée ou un roman au choix, le résumer et en faire la critique. Je remercie tous mes élèves d’avoir bien voulu participer à cet exercice. — Valérie Ouellet