Publié le 24 août 2024, le nouveau Spirou et Fantasio classique, La Baie des cochons, a été écrit par Michaël Baril, Clément Lemoine et dessiné par Elric Dufau. Cette BD a été la première de monsieur Baril. Michaël est né en 1981 dans la région de Paris. Quand il était jeune, il rêvait de devenir auteur de BD, mais enfin, il est devenu développeur web. En 2002, il se joint à l’éditeur Onapratut comme un fanzineux puis membre de l’équipe éditoriale. Il est ensuite, dessinateur dans le magazine Psikopat, scénariste et traducteur pour Onapratut et après, critique sur Parutions.com.
La Baie Des Cochons, en résumé, raconte, tout en mettant en scène les personnages de la bande de Spirou, la tentative de l’Amérique à éteindre la flamme du dirigeant de Cuba, monsieur Castro, et mettre fin au communisme. Spirou est pris en prison dans une geôle cubaine, mais seuls Fantasio et Seccotine pourront le sortir de là. Ils devront, de plus, s’unir pour libérer leur ami et écrire un reportage saisissant, donc partager la gloire.
À propos de ce livre, j’ai aimé la ressemblance entre l’histoire de la BD et le vrai événement qui est arrivé en 1961. De plus, j’ai aussi apprécié le fait que les auteurs n’écrivaient pas bien les mots avec des « S » comme « Éspoir » pour les personnages qui parlaient espagnol pour que les lecteurs entendent leur accent. Ils incluaient aussi des mots anglais pour donner de la vraisemblance. À mon goût, la couverture est originale et bien pensée.
En conclusion, La Baie Des Cochons est très intéressant et je le recommanderais. Je serais ouvert à lire un autre de ses œuvres dans le futur s’il en sort d’autres.
- Auteur : Michaël Baril, Clément Lemoine
- Illustrateur : Elric Dufau
- Maison d’édition : Dupuis
- Parution : 14 Août 2024
- Nombre de pages : 64
Crédit photo : Gabriel Stoica
Cette critique fait partie d’un projet-classe avec des élèves de cinquième secondaire, ces derniers devaient choisir un livre jeunesse ou une bande dessinée ou un roman au choix, le résumer et en faire la critique. Je remercie tous mes élèves d’avoir bien voulu participer à cet exercice. — Valérie Ouellet